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Bye Bye Jacques Chirac... Oh, How I hate You


Guest Tohu.Bohu@hotmail.com

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Guest Tohu.Bohu@hotmail.com

Welcome Sacko

 

«Mes chers compatriotes, ce soir le peuple de France s’est exprimé

avec clarté. Après tant de scrutins marqués par la montée de

l’abstention, ce premier tour est une victoire pour notre démocratie.

En se rendant massivement aux urnes, les Français ont exprimé leur

volonté de ne laisser personne décider à leur place. En me plaçant en

tête de ce premier tour, et en plaçant Madame Royal en deuxième

position, ils ont marqué clairement leur souhait d’aller au bout du

débat entre deux idées de la nation, deux projets de société, deux

systèmes de valeur, deux conceptions de la politique. Ce débat, nous

avons la responsabilité, Madame Royal et moi, de faire en sorte qu’il

se déroule dans la clarté, dans la sincérité, dans le respect des

personnes. Nous avons le devoir de donner à travers ce débat une image

de dignité qui soit à hauteur de la dignité de la fonction

présidentielle. Pour ma part, je ne changerai pas de ligne de

conduite. Je veux dire à Madame Royal que je la respecte, que je

respecte ses convictions, et que je souhaite que le débat du second

tour soit véritablement un débat d’idées. Les Français l’attende

depuis trop longtemps, les Français le réclame avec trop de force pour

que ce débat d’idées soit dénaturé.

 

Alors aux onze millions d’électeurs qui ont voté pour moi au premier

tour, parce qu’ils se sont reconnus dans les idées que j’ai exprimé,

je veux dire merci, et un merci qui vient du plus profond de mon cœur.

Ils m’ont fait confiance, et je veux leur dire que je ferais tout pour

être digne de cette confiance.

 

Tout au long de cette campagne, j’ai souhaité m’adresser à tous les

Français, bien au-delà des Partis. J’ai voulu parler à ceux auxquels

on ne parlait plus. J’ai voulu parler aux travailleurs, aux ouvriers,

aux employés, aux artisans, aux agriculteurs, à la France qui donne

beaucoup, et qui ne reçoit jamais rien. A la France qui est exaspérée

et qui souffre. Celle des banlieues en difficultés, des bassins

industriels en déclin, des cantons ruraux abandonnés. J’ai voulu

mettre au cœur de la politique des valeurs qui me sont chères :

l’identité de la Nation, l’autorité, le travail, le mérite. J’ai voulu

parler de morale. J’ai proposé la revalorisation du travail, l’école

de l’excellence, la moralisation du capitalisme financier, la

révolution du développement durable. J’ai dit que ma priorité était de

donner à chacun le moyen d’accomplir ses rêves, de réaliser ses

ambitions, de réussir sa vie. Ces principes sont le fondement de mon

projet politique. Quelques soient les obstacles je n’y renoncerais

jamais, je ne les renieraient jamais, parce que je suis profondément

convaincu que l’avenir de la France, sa prospérité, sa place dans le

monde en dépendent, comme en dépend le bonheur des Français.

 

Alors dans les quinze jours qui restent avant le second tour, je veux

dire à tous les Français qui ont peur, qui ont peur de l’avenir, qui

se sentent fragiles, vulnérables, qui trouvent la vie de plus en plus

lourde, de plus en plus dure… Je veux dire à tous ces Français que je

veux les protéger. Je veux les protéger contre la violence, Je veux

les protéger contre la délinquance, mais Je veux les protéger aussi

contre la concurrence déloyale, contre les délocalisations, contre la

dégradation des conditions de travail, contre l’exclusion… Je veux

redonner aux Français le goût d’entreprendre, innover, le goût de

l’aventure, et pourquoi pas le goût du risque… Je veux pouvoir parler

aux Français de protection sans être accusé de protectionnisme. Je

veux pouvoir parler de la nation Française sans être accusé de

nationalisme. Au fond, je veux parler à tous ceux que la vie a brisés,

je veux parler aux accidentés de la vie. Je veux parler à ceux de nos

compatriotes que la vie a usé, à ceux qui sont dans la détresse. Je

veux parler aux malades, aux handicapés, aux personnes âgées, à ceux

qu’une pression trop forte a épuisé, à tous ceux qui ont trop

souffert. Eh bien moi je veux leur redonner l’espérance. A chacun, ils

ont le droit à l’espérance. Je veux leur dire que la France dont je

rêve, c’est une France qui ne laissera tomber personne, une France qui

est comme une famille, où le plus faible, le plus vulnérable, le plus

fragile, a le droit à autant d’amour, autant de respect, autant

d’attention que le plus fort.

 

Une France où même à celui qui n’a plus de force on reconnait la

dignité de l’homme et du citoyen. Je veux m’adresser à tous les

Français, pour leur dire que la société du plein emploi est un moyen

parce que l’objectif, c’est la société de la pleine citoyenneté. Au

fond, mes chers compatriotes, je ne souhaite qu’une chose : rassembler

le peuple Français autour d’un nouveau rêve Français.. Un rêve Français

qui est celui d’une république fraternelle où chacun va trouver sa

place, où personne n’aura plus peur de l’autre… Où la diversité sera

perçue non comme une menace, mais comme une richesse.

 

Cette France fraternelle dont je rêve, c’est la France qui m’a vu

naître et c’est celle qui m’a tout donné. Je lui doit tout. Eh bien il

est venu le temps pour moi de rendre à la France qui m’a tout donné de

lui rendre tout ce que je peux lui donner moi-même. Cette France

fraternelle, ce rêve Français, j’invite tous les Français de bonne

volonté, quelques soient leurs origines, quelques soient leurs

croyances, quelques soient leurs partis, à s’unir à moi, pour

qu’ensemble nous puissions la bâtir.

 

Mes chers compatriotes, oui, je vous le dis du, fond du cœur : vive la

République, et par-dessus tout : vive la France ! »

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Guest Parsifal

On 22 Apr., 21:47, Tohu.B...@hotmail.com wrote:

> Welcome Sacko

>

> «Mes chers compatriotes, ce soir le peuple de France s’est exprimé

> avec clarté. Après tant de scrutins marqués par la montée de

> l’abstention, ce premier tour est une victoire pour notre démocratie.

> En se rendant massivement aux urnes, les Français ont exprimé leur

> volonté de ne laisser personne décider à leur place. En me plaçant en

> tête de ce premier tour, et en plaçant Madame Royal en deuxième

> position, ils ont marqué clairement leur souhait d’aller au bout du

> débat entre deux idées de la nation, deux projets de société, deux

> systèmes de valeur, deux conceptions de la politique. Ce débat, nous

> avons la responsabilité, Madame Royal et moi, de faire en sorte qu’il

> se déroule dans la clarté, dans la sincérité, dans le respect des

> personnes. Nous avons le devoir de donner à travers ce débat une image

> de dignité qui soit à hauteur de la dignité de la fonction

> présidentielle. Pour ma part, je ne changerai pas de ligne de

> conduite. Je veux dire à Madame Royal que je la respecte, que je

> respecte ses convictions, et que je souhaite que le débat du second

> tour soit véritablement un débat d’idées. Les Français l’attende

> depuis trop longtemps, les Français le réclame avec trop de force pour

> que ce débat d’idées soit dénaturé.

>

> Alors aux onze millions d’électeurs qui ont voté pour moi au premier

> tour, parce qu’ils se sont reconnus dans les idées que j’ai exprimé,

> je veux dire merci, et un merci qui vient du plus profond de mon cœur.

> Ils m’ont fait confiance, et je veux leur dire que je ferais tout pour

> être digne de cette confiance.

>

> Tout au long de cette campagne, j’ai souhaité m’adresser à tous les

> Français, bien au-delà des Partis. J’ai voulu parler à ceux auxquels

> on ne parlait plus. J’ai voulu parler aux travailleurs, aux ouvriers,

> aux employés, aux artisans, aux agriculteurs, à la France qui donne

> beaucoup, et qui ne reçoit jamais rien. A la France qui est exaspérée

> et qui souffre. Celle des banlieues en difficultés, des bassins

> industriels en déclin, des cantons ruraux abandonnés. J’ai voulu

> mettre au cœur de la politique des valeurs qui me sont chères :

> l’identité de la Nation, l’autorité, le travail, le mérite. J’ai voulu

> parler de morale. J’ai proposé la revalorisation du travail, l’école

> de l’excellence, la moralisation du capitalisme financier, la

> révolution du développement durable. J’ai dit que ma priorité était de

> donner à chacun le moyen d’accomplir ses rêves, de réaliser ses

> ambitions, de réussir sa vie. Ces principes sont le fondement de mon

> projet politique. Quelques soient les obstacles je n’y renoncerais

> jamais, je ne les renieraient jamais, parce que je suis profondément

> convaincu que l’avenir de la France, sa prospérité, sa place dans le

> monde en dépendent, comme en dépend le bonheur des Français.

>

> Alors dans les quinze jours qui restent avant le second tour, je veux

> dire à tous les Français qui ont peur, qui ont peur de l’avenir, qui

> se sentent fragiles, vulnérables, qui trouvent la vie de plus en plus

> lourde, de plus en plus dure… Je veux dire à tous ces Français que je

> veux les protéger. Je veux les protéger contre la violence, Je veux

> les protéger contre la délinquance, mais Je veux les protéger aussi

> contre la concurrence déloyale, contre les délocalisations, contre la

> dégradation des conditions de travail, contre l’exclusion… Je veux

> redonner aux Français le goût d’entreprendre, innover, le goût de

> l’aventure, et pourquoi pas le goût du risque… Je veux pouvoir parler

> aux Français de protection sans être accusé de protectionnisme. Je

> veux pouvoir parler de la nation Française sans être accusé de

> nationalisme. Au fond, je veux parler à tous ceux que la vie a brisés,

> je veux parler aux accidentés de la vie. Je veux parler à ceux de nos

> compatriotes que la vie a usé, à ceux qui sont dans la détresse. Je

> veux parler aux malades, aux handicapés, aux personnes âgées, à ceux

> qu’une pression trop forte a épuisé, à tous ceux qui ont trop

> souffert. Eh bien moi je veux leur redonner l’espérance. A chacun, ils

> ont le droit à l’espérance. Je veux leur dire que la France dont je

> rêve, c’est une France qui ne laissera tomber personne, une France qui

> est comme une famille, où le plus faible, le plus vulnérable, le plus

> fragile, a le droit à autant d’amour, autant de respect, autant

> d’attention que le plus fort.

>

> Une France où même à celui qui n’a plus de force on reconnait la

> dignité de l’homme et du citoyen. Je veux m’adresser à tous les

> Français, pour leur dire que la société du plein emploi est un moyen

> parce que l’objectif, c’est la société de la pleine citoyenneté. Au

> fond, mes chers compatriotes, je ne souhaite qu’une chose : rassembler

> le peuple Français autour d’un nouveau rêve Français. Un rêve Français

> qui est celui d’une république fraternelle où chacun va trouver sa

> place, où personne n’aura plus peur de l’autre… Où la diversité sera

> perçue non comme une menace, mais comme une richesse.

>

> Cette France fraternelle dont je rêve, c’est la France qui m’a vu

> naître et c’est celle qui m’a tout donné. Je lui doit tout. Eh bien il

> est venu le temps pour moi de rendre à la France qui m’a tout donné de

> lui rendre tout ce que je peux lui donner moi-même. Cette France

> fraternelle, ce rêve Français, j’invite tous les Français de bonne

> volonté, quelques soient leurs origines, quelques soient leurs

> croyances, quelques soient leurs partis, à s’unir à moi, pour

> qu’ensemble nous puissions la bâtir.

>

> Mes chers compatriotes, oui, je vous le dis du, fond du cœur : vive la

> République, et par-dessus tout : vive la France ! »

 

Euh... tu peux nous dire ce que cela a à voir avec alt.atheism?

I

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Guest Codebreaker

On Apr 22, 4:24 pm, Parsifal <jeanpascalvac...@gmail.com> wrote:

> On 22 Apr., 21:47, Tohu.B...@hotmail.com wrote:

>

>

>

>

>

> > Welcome Sacko

>

> > «Mes chers compatriotes, ce soir le peuple de France s’est exprimé

> > avec clarté. Après tant de scrutins marqués par la montée de

> > l’abstention, ce premier tour est une victoire pour notre démocratie.

> > En se rendant massivement aux urnes, les Français ont exprimé leur

> > volonté de ne laisser personne décider à leur place. En me plaçant en

> > tête de ce premier tour, et en plaçant Madame Royal en deuxième

> > position, ils ont marqué clairement leur souhait d’aller au bout du

> > débat entre deux idées de la nation, deux projets de société, deux

> > systèmes de valeur, deux conceptions de la politique. Ce débat, nous

> > avons la responsabilité, Madame Royal et moi, de faire en sorte qu’il

> > se déroule dans la clarté, dans la sincérité, dans le respect des

> > personnes. Nous avons le devoir de donner à travers ce débat une image

> > de dignité qui soit à hauteur de la dignité de la fonction

> > présidentielle. Pour ma part, je ne changerai pas de ligne de

> > conduite. Je veux dire à Madame Royal que je la respecte, que je

> > respecte ses convictions, et que je souhaite que le débat du second

> > tour soit véritablement un débat d’idées. Les Français l’attende

> > depuis trop longtemps, les Français le réclame avec trop de force pour

> > que ce débat d’idées soit dénaturé.

>

> > Alors aux onze millions d’électeurs qui ont voté pour moi au premier

> > tour, parce qu’ils se sont reconnus dans les idées que j’ai exprimé,

> > je veux dire merci, et un merci qui vient du plus profond de mon cœur.

> > Ils m’ont fait confiance, et je veux leur dire que je ferais tout pour

> > être digne de cette confiance.

>

> > Tout au long de cette campagne, j’ai souhaité m’adresser à tous les

> > Français, bien au-delà des Partis. J’ai voulu parler à ceux auxquels

> > on ne parlait plus. J’ai voulu parler aux travailleurs, aux ouvriers,

> > aux employés, aux artisans, aux agriculteurs, à la France qui donne

> > beaucoup, et qui ne reçoit jamais rien. A la France qui est exaspérée

> > et qui souffre. Celle des banlieues en difficultés, des bassins

> > industriels en déclin, des cantons ruraux abandonnés. J’ai voulu

> > mettre au cœur de la politique des valeurs qui me sont chères :

> > l’identité de la Nation, l’autorité, le travail, le mérite. J’ai voulu

> > parler de morale. J’ai proposé la revalorisation du travail, l’école

> > de l’excellence, la moralisation du capitalisme financier, la

> > révolution du développement durable. J’ai dit que ma priorité était de

> > donner à chacun le moyen d’accomplir ses rêves, de réaliser ses

> > ambitions, de réussir sa vie. Ces principes sont le fondement de mon

> > projet politique. Quelques soient les obstacles je n’y renoncerais

> > jamais, je ne les renieraient jamais, parce que je suis profondément

> > convaincu que l’avenir de la France, sa prospérité, sa place dans le

> > monde en dépendent, comme en dépend le bonheur des Français.

>

> > Alors dans les quinze jours qui restent avant le second tour, je veux

> > dire à tous les Français qui ont peur, qui ont peur de l’avenir, qui

> > se sentent fragiles, vulnérables, qui trouvent la vie de plus en plus

> > lourde, de plus en plus dure… Je veux dire à tous ces Français que je

> > veux les protéger. Je veux les protéger contre la violence, Je veux

> > les protéger contre la délinquance, mais Je veux les protéger aussi

> > contre la concurrence déloyale, contre les délocalisations, contre la

> > dégradation des conditions de travail, contre l’exclusion… Je veux

> > redonner aux Français le goût d’entreprendre, innover, le goût de

> > l’aventure, et pourquoi pas le goût du risque… Je veux pouvoir parler

> > aux Français de protection sans être accusé de protectionnisme. Je

> > veux pouvoir parler de la nation Française sans être accusé de

> > nationalisme. Au fond, je veux parler à tous ceux que la vie a brisés,

> > je veux parler aux accidentés de la vie. Je veux parler à ceux de nos

> > compatriotes que la vie a usé, à ceux qui sont dans la détresse. Je

> > veux parler aux malades, aux handicapés, aux personnes âgées, à ceux

> > qu’une pression trop forte a épuisé, à tous ceux qui ont trop

> > souffert. Eh bien moi je veux leur redonner l’espérance. A chacun, ils

> > ont le droit à l’espérance. Je veux leur dire que la France dont je

> > rêve, c’est une France qui ne laissera tomber personne, une France qui

> > est comme une famille, où le plus faible, le plus vulnérable, le plus

> > fragile, a le droit à autant d’amour, autant de respect, autant

> > d’attention que le plus fort.

>

> > Une France où même à celui qui n’a plus de force on reconnait la

> > dignité de l’homme et du citoyen. Je veux m’adresser à tous les

> > Français, pour leur dire que la société du plein emploi est un moyen

> > parce que l’objectif, c’est la société de la pleine citoyenneté. Au

> > fond, mes chers compatriotes, je ne souhaite qu’une chose : rassembler

> > le peuple Français autour d’un nouveau rêve Français. Un rêve Français

> > qui est celui d’une république fraternelle où chacun va trouver sa

> > place, où personne n’aura plus peur de l’autre… Où la diversité sera

> > perçue non comme une menace, mais comme une richesse.

>

> > Cette France fraternelle dont je rêve, c’est la France qui m’a vu

> > naître et c’est celle qui m’a tout donné. Je lui doit tout. Eh bien il

> > est venu le temps pour moi de rendre à la France qui m’a tout donné de

> > lui rendre tout ce que je peux lui donner moi-même. Cette France

> > fraternelle, ce rêve Français, j’invite tous les Français de bonne

> > volonté, quelques soient leurs origines, quelques soient leurs

> > croyances, quelques soient leurs partis, à s’unir à moi, pour

> > qu’ensemble nous puissions la bâtir.

>

> > Mes chers compatriotes, oui, je vous le dis du, fond du cœur : vive la

> > République, et par-dessus tout : vive la France ! »

>

> Euh... tu peux nous dire ce que cela a à voir avec alt.atheism?

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Ne sais-tu pas que Jacques Chirac est un Atheist O homme vain?

 

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